Un petit blog, pour une petite créatrice
L’Académie de Temas était un immense bâtiment surplombé de deux immense tour de pierre beige sur laquelle huit immense horloge se trouver sur chacune des faces de la tour pour que tout le monde puisse connaitre l’heure et être à temps. Ce dernier n’avait pas de réel concurrence dans tout Temas étant la seule académie non spécialisé dans l’ingénierie faisant d’elle la seule qui n’avait aucun nom spécifique autre que l’Académie. J’y avais fait le début de mes études avant de toute suite partir vers une école plus spécialisé ce qui rendait mes souvenirs de l’établissement un peu flou.
Une fois mon coup d’œil sur le bâtiment terminé, je me frayas un chemin entre les élèves qui entraient et sortaient du bâtiment pour m’introduire dans l’immense hall d’entrée et me dirigée vers le premier endroit administratif que je pouvais trouver. Ce qui fut rapidement chose faite une fois arriver devant la porte de l’accueil. Je toqua fermement à cette dernière jusqu’à ce qu’une jeune personne au court cheveux brun et bouclé et la peau cuivrée m’ouvrit la porte.
J’entrai à son invitation dans le bureau d’accueil de l’académie dans lequel se trouvais des étages remplie de document probablement répertoriant l’ensemble des élèves et membres de l’administration de l’académie. Un vrai capharnaüm… Lea membre d’accueil qui m’avait accueillis viendra rapidement partir vers un tiroir et commencer à fouiller dans tout les dossier qu’il contenais. Il viendra en sortir un qu’il feuilleta rapidement avant de se retourner vers moi.
Je sortit sans demander plus du bureau venant partir vers la salle où semblais se trouver ce fameux Léonce. Traversant l’aile droite et les étages de l’Académie je fini par trouver la salle 26 dont la porte était entrouverte. Prenant cela comme une invitation, j’entrai à l’intérieur découvrant un homme au cheveux noir et blanc dans une veste à rayure marron et usée en train d’écrire avec intérêt des notes dans un livre. Je m’approcha de lui jusqu’à arriver au niveau de son bureau venant l’interpellez.
Venant relever la tête de son livre, il me permit de voir ce qu’il écrivais une fraction de seconde avant qu’il ne ferme ce livre et de le mettre de côté avec de nombreuses autre livre et document sur son bureau. Mais une fraction de seconde qui me marqua. Sur la page de droite se trouvait un pique noire avec un dessin à l’intérieur… Des rouages à tout les coups.
Le visage du professeur se crispa à l’entente de se nom.
Je l’analysa au mieux tentant de comprendre a quel point il était fiable. Sa précipitation pour cacher son livre me faisait dire que les informations sur cette étrange tatouage ne sera pas partager de bon cœur par ce professeur, il faudra trouver un moyen de pouvoir lui voler ce livre. Mais je pouvais toujours lui demander des informations sur cette étrange connaissance commune.
Il se leva de son bureau venant mettre des lunettes.
Le professeur Ochol se tourna vers le tableau pour y prendre une craie. Profitant de cela, je viendra me coller au bureau dos au livre qui m’intéresser prétendant de me tourner simplement pour mieux voir le cour du professeur. Ce dernier se mit à écrire un nom au tableau.
Il vint écrire un nouveau nom.
Un nouveau nom se rajoutera sur le tableau.
Sa craie fit apparaitre un quatrième nom.
Il rajouta un dernier nom.
Tout en écoutant son cours magistrale je vins poser mes mains sur le livre dans lequel le professeur gribouiller. Discrètement et profitant de son attention porter sur le tableau je vins glisser ce dernier sous ma chemise venant faire de mon mieux pour dissimuler mon vol.
Je tenta de réfléchir à quelque chose que je pourrais demander à Léonce pour endormir sa méfiance. Parler du tatouage me sembler une mauvaise idée surtout que je venais de voler le livre sur laquelle il apparaissais. Parler de Zoran risquer d’avoir le même problème… En continuant de réfléchir un détail me vint à l’esprit.
Le professeur me regarda avec un peu de méfiance avant que la cloche du bâtiment viens sauner une nouvelle heure me sauvant en même temps que des élèves se mirent à entrer dans la salle.
Je ne répondis pas à cette dernière phrase venant sortir de la salle passant le livre de mon dos à mon ventre pour continuer à le cacher à son propriétaire qui se mettait à saluer ses élèves. Esquivant les dernier·e·s arrivant·e·s je marcha vers la sortie de l’école prête à retrouver Ophélie.